mardi 11 mars 2014

LE DEMAQUILLAGE... UN GESTE INDISPENSABLE DANS VOS ROUTINES




Quel est le geste le plus essentiel, indispensable, je dirais même vital, de notre routine beauté?


Non, ce n'est pas de se sècher les cheveux la tête en bas ou de faire zigzaguer notre brosse à mascara. Il ne s'agit pas d'appliquer la crème contour des yeux en tapotant ou d'utiliser un pinceau avec notre rouge à lèvres…


Certes, ces petits gestes sont importants, mais le démaquillage est celui qui vous sauvera des boutons, de la peau terne et des imperfections.


Quels sont mes produits démaquillants favoris? Je suis certaine que mes coups de coeur faciliteront votre routine beauté!


1) Lait démaquillant hydra-ressourçant, de Esthederm

Lait Démaquillant Hydra-Ressourçant - Osmoclean
C'est une formule 2 en 1 : lait démaquillant + soin hydratant pour réconforter la peau après le démaquillage.
Parfaitement démaquillée, la peau est nette, fraîche et hydratée. Elle est immédiatement plus douce au toucher et révèle un aspect lisse et velouté.

Disponible en institut de beauté au prix de 19€.



2) Lotion fraîche hydra-ressource, par Esthederm

Après un démaquillage avec son lait démaquillant bien sûr il ne faut jamais oublier d'éliminer le film gras du démaquillant avec une lotion ou une eau micellaire.

La lotion hydra-ressource peaufine le démaquillage par un instant de douceur et de fraîcheur.

Disponible en institut au prix de 19€

3) Lingettes nettoyantes rafraîchissantes, de Nivea Visage
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Voilà 25 lingettes qui nettoient et enlèvent le maquillage (Et le mascara waterproof) en laissant la peau totalement fraîche. Elles contiennent de la vitamine E ainsi que des extraits de Lotus naturel. Je craque pour leur parfum frais! 

A UTILISER SEULEMENT EN COUP DE VENT SI VOUS RENTREZ DE SOIREE ET QUE VOUS ETES EPUISE MAIS CA RESTE UNE OPTION OK?


Je vous invite aussi à en apprendre plus sur l'Eau Micellaire, le nouveau démaquillant chouchou des accros aux produits de beauté.


Quel démaquillant utilisez-vous? Vous démaquillez-vous tous les soirs?

dimanche 2 mars 2014

LA TENDANCE EST AU MAKE UP NUDE... COMMENT CHOISIR SON FOND DE TEINT (PARTIE 2) ETAPE 2



Quelles sont les problématiques spécifiques des peaux foncées ?    
On peut trouver jusqu'à 40 types de peaux brunes, de la peau hispanique, maghrébine, métisse à noire. La pigmentation étant plus importante, elle résiste mieux au photo-vieillissement. Mais elle est aussi sensible que les peaux blanches. De plus, elle se déshydrate très vite. Elle a également une tendance cicatricielle importante, le moindre petit bouton ou la moindre irritation laisseront alors une tache.
                 
Comment choisir son fond de teint ?    
Les peaux noires ou métissées sont souvent déshydratées avec un aspect terne et ont tendance à briller dans la journée. Un maquillage spécifique est donc plus intéressant pour répondre à leurs besoins. Il est important d'apporter de la luminosité au teint, tout en ayant un fini mat.
           
Vaut-il mieux opter pour un fond de teint fluide, un compact ou une poudre ?    
Tout va dépendre du besoin de correction. Le fluide est adapté aux imperfections légères alors que les fonds de teint compacts camouflent plus efficacement les problèmes d’hyperpigmentation (taches, cicatrices, boutons...). La poudre est utilisée pour fixer le fond de teint ou seule pour unifier légèrement le teint lorsque les femmes ne souhaitent pas trop se maquiller. En revanche, la poudre est importante car elle diminue l'aspect brillant qui est assez fréquent.

Il faut savoir que les peaux noires/métissées et les peaux caucasiennes ont des besoins différents. En effet, les peaux noires ont surtout dans l'ordre, des problèmes de matité, d'unification, d'éclat, d'hydratation et enfin en dernière position les rides alors qu'une peau caucasienne se préoccupera en priorité de traiter les rides, puis l'hydratation et ensuite la matité, l'unification et l'éclat.

Si vous aussi le maquillage de Rama Yade vous fait peur, lisez ce qui suit !
1/ Déterminer son type de peau
Avant de choisir un fond de teint, il est impératif de connaître sa peau car pour chaque peau = un fond de teint spécifique.

Une peau mixte à grasse aura besoin d'un fond de teint matifiant soit un formule Oil Free (sans corps gras) donc privilégiez les fonds de teint au fini mat à semi-mat (Lancôme Idole Ultra 24h, Double Wear Estée Lauder, Studio Fix Mac ainsi que tous les fonds de teint Black Up qui sont enrichies en agents matifiants...)
* Une peau sèche aura besoin d'un fond de teint hydratant pour être confortable (Moisture Suprême Laura Mercier...)
* Une peau normale "la peau parfaite, ni sèche, ni grasse" n'aura que l'embarras du choix pour choisir le fond de teint le plus adapté à ses envies (glowy, mat, semi mat...) et l'état/les besoins de sa peau sur le moment.

2/ Choisir la texture
* Texture fluide/mousse (aérienne) pour une couvrance légère à moyenne
* Texture crème/poudre/stick "les compacts" pour une couvrance optimale (problème de tâches, hyperpigmentation...)

3/ Quelle texture pour quel type de peau ??
Avec les avancées cosmétiques, on trouve désormais pour chaque texture, différentes formulations pour les différents types de peau.

C'est à dire que les fonds de teint crème ne sont plus seulement que pour les peaux sèches, on trouve aussi des fonds de teint crème poudrés donc matifiants (notamment chez Black Up) tout comme il existe des fonds de teint fluides pour peaux sèches donc n'hésitez pas à lire les étiquettes, demander des conseils en magasin.


4/ Choisir le fond de teint parfait
* Régle 1 : On va en boutique non maquillée, peau nue mais hydratée. Ne pas confondre l'hydratation qui est le fait d'apporter de l'eau à la peau donc impératif avec le fait de nourrir qui est plutôt un besoin pour les peaux sèches

Régle 2 : On choisit son fond de teint selon son undertone (sous-ton de peau) qui pour la peau noire/métissée sera  jaune, orange, rouge ou bleu afin que la peau et le maquillage fusionnent pour éviter cet aspect terne, grisâtre.

Chez les peaux caucasiennes, l'undertone sera rose, vert ou jaune doré et parfois bleu pour les peuax très pâles. A noter que pour les peaux métissées très claires, on peut avoir un undertone rosé voire olivâtre (vert). Concrètement qu'on ait la peau noire ou claire, on fait partie de l'une des deux grandes familles de tonalité de sous-peau : chaude ou froide.

* Régle 3 : On ne teste jamais le fond de teint sur le poignet mais directement sur le visage et on sort du magasin pour voir ce que ça donne à la lumière naturelle

* Régle 4 : Si vous hésitez entre deux teintes, choisissez la plus claire des deux (à condition que ce soit juste plus claire d'une demi teinte, le but n'est pas de ressembler à miss Rama Yade) qui illuminera votre visage alors que la teinte la plus foncée aura tendance à l'assombrir.

La peau noire/métissée est rarement uniforme donc n'hésitez pas à mélanger et/ou travailler sur deux teintes pour avoir votre teinte exacte.


Dernières recommandations :
Pour un teint parfait, n'hésitez pas à investir dans un anti-cernes/correcteur pour camoufler et corriger ainsi que dans une poudre pour matifier et/ou illuminer. Autre produit qui peut faire des miracles, l'enlumineur appelé aussi embellisseur de teint à mélanger avec son fond de teint pour un fini lumineux et glowy.

N'oubliez pas que tout au long de l'année, votre carnation change notamment en été/hiver donc qui dit carnation changeante dit teinte de fond de teint à changer selon les saisons.

** Relire mon article sur les Black Beauty : Guide Maquillage
** Relire mon article complet sur les sous-ton de peau (undertone chaud ou froid)

Liste des marques où vous trouverez votre bonheur. J'en oublie sans doute mais il y en a tellement...Pourquoi cette liste ?? Car je ne suis pas d'accord avec ceux/celles qui disent que parce qu'on a la peau noire, on doit forcément se diriger vers des marques spécialisées "peaux noires". Le fond de teint est un choix très/trop personnel pour généraliser et mettre tout le monde dans le même sac.

Les marques avec un astérisque (*) à côté = j'ai écrit un article sur l'un de leurs produit teint. Il n'y a qu'à cliquer pour le lire !


Ces marques qui font pour toutes les carnations (notamment pour les peaux (très) foncées)
- Dermablend (très couvrant!)
- Mac 
- Make Up For Ever
- Dermalogica
- Laura Mercier
- Ellis Faas
- Urban Decay
- Cover Girl
- Mary Kay
- Shiseido 
- Armani 
- Lancôme 
- Chanel (teintes foncées uniquement aux US)
- Estée Lauder 
- Bobbi Brown
- Illamasqua
- Clinique
- Benefit
- Nars 
- Yves Saint Laurent
- Clarins
- Burberry
- BareMinerals (minéral)
- Youngblood  (minéral
- Kiko
- Yves Rocher

Marques spécialisées pour les peaux noires/métissées
- Black Up 
- True Colors Paris 
- Fashion Fair
- Flori Roberts
- Black Opal
- Iman 
- Kanellia
- Sleek
- Be Colored
- Nacara
- Laura Sim's
- Melyssa

Parapharmacie 
- Avène 
- Revlon

En GMS
- L'Oréal
- Gemey Maybelline
- Melyssa
- Laura Sim's

BB Cream/ CC Cream / Crème Teintée
- Iman
- Black Up
- Dermalogica
- Dr Brandt
- Embryolisse 
- Nars 
- Erborian Doré pour les peaux métissées assez claires

Si avec tout ceci vous ne trouvez pas, je ne peux plus rien faire pour vous ^^ Si vous avez des conseils et/ou autres recommandations, n'hésitez surtout pas à les partager via commentaire !




A bientôt pour de nouveaux secrets beauté.
Bisous.
Benedicte Make Up Style.



COMPRENDRE LE STRESS


Le stress fait partie de nos vies et touche tout le monde à différents degrés et de différentes façons. Justine vous explique comment tout ça fonctionne !

Vous avez très certainement entendu ce couperet tomber au moins une fois dans vos petites vies : « Tu dois être stressé-e ». Que vous ayez la mine mauvaise, les cheveux cassants, les ongles dédoublés, le ventre en vrac, le palpitant qui s’emballe, les dents qui grincent, il y aura toujours quelqu’un pour vous expliquer que tout ça, « C’est le stress » – comme pour vous dire surtout que « Tout ça, c’est dans ta tête ».
Le « diagnostic » fourre-tout permet d’expliquer tout et son contraire, les tracas quotidiens ou les grandes plaies, les contrariétés de bureau ou les drames familiaux.

Peut-on définir le stress ?

En psychologie, le stress a été trituré sous tous les angles.
Dans un modèle dit « interactionniste » ou « transactionnel » élaboré par les psychologues Lazarus et Folkman (1984), le stress est défini comme « une relation particulière entre la personne et l’environnement, relation qui est évaluée par l’individu comme excédant ses ressources et menaçant son bien-être ».
Autrement dit, le stress résulterait à la fois des exigences de votre environnement, de vos ressources individuelles et sociales pour faire face… Ainsi que de votre perception de cette relation, de cette situation.
Exemple :
  • Votre environnement : votre bureau grouille de cafards, votre collègue d’en face se cure le nez et vous devez rendre un dossier pour hier.
  • Vos ressources individuelles : d’un naturel joyeux, vous êtes de bonne humeur et vous savez très bien encaisser sans broncher.
  • Vos ressources sociales : vos proches deviennent vos cheerleaders et vous soutiennent par statuts Facebook interposés.
  • Votre perception de tout ce schmilblick : BAH, TGIF (Thanks God It’s Friday – Dieu merci, c’est vendredi), les cafards ne vous ont jamais effrayé-e et vous avez toute la nuit pour fignoler le dossier à faire pour hier.
  • Le stress ne vous atteint pas.
En fin de compte, peu importe les caractéristiques « objectives » de la situation, ce qui compte, c’est ce que vous percevez comme « menaçant » et la manière dont vous vous adapterez à cette menace… C’est ce que l’on appelle le « stress perçu ».
Globalement, cette histoire de « perception » est cruciale lorsque l’on parle de stress : par exemple, percevoir que notre entourage amical, familial et professionnel est disponible pour nous semblerait avoir des effets bénéfiques sur notre bien-être (Rascle, 1994). De la même manière, lorsque nous avons l’impression de « contrôler » la situation (c’est-à-dire d’avoir la certitude de pouvoir répondre efficacement à une menace), l’impact de stress est réduit.
Le modèle de Lazarus et Folkman, s’il a le mérite de mettre l’accent sur l’interaction entre l’individu et son environnement, a toutefois été critiqué : il minimiserait le rôle des facteurs environnementaux (votre culture, le pays où vous vivez, votre situation économique, vos groupes d’appartenance…) et des antécédents personnels (votre histoire, vos croyances, vos antécédents familiaux…) – alors même que ceux-ci pourront moduler votre rapport au stress, vous fragiliser ou au contraire vous protéger (Marilou proposera ainsi en 2002 un modèle « intégratif et multifactoriel », intégrant ces types de facteurs).

Faire face au stress : les stratégies de « coping »

Lorsqu’un problème survient, de quelle façon réagissez-vous ?
  • A) Je redouble d’efforts et je fais tout mon possible pour y arriver.
  • B) J’espère qu’un miracle va se produire, ou j’essaie de tout oublier.
  • C) Je demande des conseils à une personne compétente et je les suis.
Comme vous n’êtes pas de petits agents complètement passifs, face à des évènements que vous percevez comme stressants, vous allez certainement tenter de « faire face » : en psychologie, on nomme ça le « coping » (non mais hé, on ne va pas s’emmerder à traduire, si ?), qui pourrait aussi être appelé « stratégie d’ajustement ». En bref, le coping désigne les réponses et les réactions que vous allez avoir pour rester flex face au stress.
Plus scientifiquement, Lazarus et Folkman définissent le coping comme « l’ensemble des efforts cognitifs et comportementaux destinés à maîtriser, réduire ou tolérer les exigences internes ou externes qui menacent ou dépassent les ressources d’un individu ».
Généralement, les recherches identifient trois grandes stratégies pour lutter contre le stress :
Le coping centré sur le problème (réponse A)
Vous tentez de contrôler ou de modifier la situation. Vous mettez en place des plans d’actions, faites des listes… Par exemple, si l’approche d’un contrôle d’histoire vous file les chocottes, vous apprendrez inlassablement vos leçons, ferez des petites fiches stabilotées et collerez des schémas sur la porte de vos toilettes.
Le coping centré sur le problème serait plus efficace sur le long terme et dans les situations où vous pouvez contrôler les choses.
Le coping centré sur l’émotion (réponse B)
Cette fois, vous tentez de contrôler la tension émotionnelle que la situation vous fait ressentir. A l’approche du fameux contrôle d’histoire, vous essayez de relativiser (« Ce contrôle d’histoire ne va pas déterminer le reste de ma vie et personne ne va mourir si je ne connais pas exactement les dates importante de la guerre froide« ), vous fuyez allègrement le problème en regardant toutes les saisons de The Big Bang Theory, vous positivez et faites appel à la pensée magique (« Je n’apprends rien mais JE SUIS LE MEILLEUR« ), vous dormez, vous exprimez votre colère, votre angoisse, votre tristesse.
Cette stratégie serait à l’inverse plus efficace sur le court terme et pour des évènements incontrôlables (à quoi ça sert que Ducros se décarcasse, sinon ?).
La recherche de soutien social (réponse C)
En marge des deux stratégies précédentes, vous pourriez également décider de vous tourner vers autrui pour obtenir de la sympathie, un peu d’aide, un peu d’écoute – c’est un peu « l’appel à un ami » du coping, en somme.
De nos jours, j’imagine que la recherche de soutien social pourrait passer par un petit statut Facebook cryptique, par un appel aux RT sur Twitter, par des messages groupés à votre bande pour avoir un peu de réconfort…
Finalement, l’état de stress ne proviendra pas des mêmes choses et n’aura pas les mêmes impacts pour chacun-e d’entre nous ; nous n’avons ni les mêmes préoccupations, ni la même tolérance aux évènements. Par exemple, attendre sagement la réponse potentielle d’un employeur potentiel pour un super job potentiel va s’apparenter pour moi au supplice de Tantale, et je préfère encore nager avec des requins que passer un entretien d’embauche. En revanche, je suis généralement détendue du boxer lorsqu’il s’agit de présenter des trucs en public – et ça peut parfaitement être l’inverse pour vous.
Dans ce papier, nous avons survolé la notion de stress et de coping de façon légère, mais les recherches en psychologie de la santé sur ce sujet sont extrêmement importantes et permettent par exemple d’étudier la manière dont on vit avec une maladie, dont on peut réagir lorsqu’un de nos proches souffre d’une maladie, et de mettre au point des thérapies et interventions pour réduire le stress vécu dans ces cas-là et produire des « coping » adaptés.

Pour aller plus loin :

samedi 1 mars 2014

LA TENDANCE EST AU MAKE UP NUDE : COMMENT CHOISIR SON FOND DE TEINT (PARTIE 2) Etape 1


Bien choisir son fond de teint, c'est primordial si on vise un teint parfait. Vous voulez un teint pâle, un teint lumineux, un teint mat ou un teint bonne mine ? Fond de teint minéral, fluide ou fond de teint compact : comment faire la différence ? Vous souhaitez camoufler un bouton, gommer des rougeurs et autres imperfections ou encore protéger votre peau ? Voici les astuces pour cela




Il n'est pas toujours facile de bien choisir son fond de teint en fonction de votre peau. Sachez avant tout que rien ne vaut de bons conseils maquillage personnalisés : déplacez-vous directement en magasins et n'hésitez pas à demander des échantillons afin de tester un fond de teint pendant quelques jours.
La petite astuce : en magasin, lorsque vous testez un fond de teint, visualisez le résultat en sortant du magasin. Rien ne remplace la lumière naturelle pour juger de la couleur ou de la couvrance d'un fond de teint !


A quel endroit tester un fond de teint ?

L'habitude veut que l'on applique un fond de teint en test sur le dos de la main ou bien sur le poignet… Or, sachez que la carnation de vos mains et de votre poignet est souvent plus foncée que celle de votre visage.

Pour tester correctement un fond de teint, appliquez une noisette du produit directement sur une petite partie de votre visage.
D'où l'importance de demander des échantillons !


Quelle de fond de teint couleur choisir ?

Pour un résultat parfait, choisissez TOUJOURS un fond de teint qui correspond parfaitement à lacouleur de votre peau.

Si vous choisissez une teinte de fond de teint trop claire, vous aurez l'air d'une poupée de cire momifiée.

A contrario, une teinte de fond de teint trop foncée vous donne l'air d'une fille qui est restée trop longtemps sous une lampe à UV…


Quelques conseils pour bien choisir votre fond de teint


Posez vous les bonnes questions :

- Quelle couvrance attendez vous de votre fond de teint ?
Légère, moyenne ou totale, chaque fond de teint a sa spécificité. Si le packaging ne vous semble pas clair, demandez, là encore, à une conseillère de vente de vous éclairer sur la question.

Les fonds de teint à la texture légère unifient le teint mais ne camouflent pas les imperfections.
Rougeurs, cicatrices, grains de beauté ou tâches de rousseur seront donc clairement visibles.

Les fonds de teint à la couvrance moyenne sont parfaits pour camoufler de petites imperfections.

Quant aux fonds de teint à couvrance totale, comme le nom l'indique, ils sont surtout utiles pour lespeaux à imperfections qui ont besoin d'être magnifiées.


- Quel est le type de votre peau ?
Normale ? Mixte ? Sèche ? Grasse ? La nature de votre peau doit vous guider dans le choix de votre fond de teint.

Par exemple, vous pouvez utiliser une formule hydratante si vous avez la peau sèche.
Ou un fond de teint matifiant si vous avez une beau mixte à grasse, qui brille facilement.


- Quel est l'âge de votre peau ?
Rides, ridules, peau qui s'affaisse… Choisissez une formule de fond de teint qui vous aidera, là encore, à mettre votre peau le plus en valeur pour un effet bonne mine assuré.


Vous voilà dotées de quelques conseils maquillage qui devraient vous aider à trouver (enfin) le fond de teint qui vous conviendra parfaitement !

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